Bibliographies

Le monde qui émerge

Le monde qui émerge

Attac, c/o Les liens qui libèrent, 2017, 268p.

On ne peut bâtir un monde autre sans changer notre vision du monde et de l’humanité. Tel est l’ambition de ce livre collectif qui évoque notamment la « terre-mère », le « bien vivir », les « communs »… Il nous aide à sortir de la catégorie des « étrangers ».

La fin de l’hospitalité

La fin de l’hospitalité

Guillaume Le Blanc et Fabienne Brugère, c/o Flammarion, 2017, 236p.

Une approche tout à la fois descriptive et réflexive sur la multiplication des lieux et des pratiques de fermeture et d’hostilité à l’égard des exilés. Elle se termine par un appel à l’hospitalité dans « une république bienveillante ».

Villes et hospitalité

Villes et hospitalité

Sous la direction de Anne Gotman, aux Editions de la Maison des sciences de l’homme, 2004, 492p.

Un pavé qui fait un vaste tour de cette question très actuelle, à travers la visite des pratiques sociales, juridiques et politiques, dans des villes ayant été emblématiques. Il pose la dimension sociétale, car l’hospitalité ne concerne pas seulement les étrangers, mais « l’autre ».

Atlas des migrations environnementales

Atlas des migrations environnementales

Dina Ionesco, Daria Mokhnacheva et François Gemenne, c/o SciencesPo les presses, 2016, 151p.

L’ensemble de cette nouvelle donne déterminante pour l’avenir, est présentée dans toute sa complexité, sous la forme de textes courts, de schémas et de cartes extrêmement parlants.

Atlas des migrants en Europe

Atlas des migrants en Europe

Ouvrage collectif publié par Migreurop, c/o Armand Colin, 2012, 136p.

La politique européenne en matière de migrations, passée à la loupe et dans le détail par une flopée d’expert-e-s, au travers de courts textes et de cartes, sans oublier de belles photos évocatrices.

Archéologie des migrations

Archéologie des migrations

Sous la direction de Dominique Garcia et Hervé Le Bras, c/o La Découverte, 2017, 390p.

Toute l’épaisseur de l’histoire des migrations, de la préhistoire aux temps modernes, en passant par l’antiquité et le moyen-âge. Cela permet de prendre de la hauteur, de relativiser, mais surtout de comprendre en quoi les migrations, volontaires et subies, ont « fabriqué » l’être humain.